Troudair Revolutions

Fil d'info en continu sur les conséquences de la fin du monde qui a eu lieu le 15 décembre 1999.

31 mars 2006

Jean-Louis Costes / Grand Père

Comme je le disais précédement, je devais écrire sur le roman de Costes pour fluctuat.
C'est chose faite et c'est en ligne ici => http://www.fluctuat.net/2940-Grand-Pere-de-Jean-Louis-Costes
Je pense que j'en rajouterai un peu sur ce blog, parce que le format webzine est un peu court pour moi, et surtout qu'il fallait que je speed pour publier le papier avant que Costes ne passe chez Ardisson samedi soir, mais il y a encore beaucoup de chose à dire sur ce roman, et croyez-moi, ce ne sont pas les universitaires en Lettres Modernes qui vont se pencher dessus...

[Edit 1er avril : désolé, je m'étais pas relu. le lien que j'ai donné hier était pas le bon. c'est rectifié.]

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Entendu hier

"Depuis que j'ai internet, je télécharge plein de trucs. Hier, j'ai chopé Cali. Je connaissais pas. J'aime bien."

Et il reste encore des majors pour nous dire que le P2P leur fait du tort.
Cette fille a découvert Cali (signé chez Labels) et si Cali vient pousser la chansonnette du côté d'Auxerre, elle ira le voir, et elle lui fera de la bonne pub, tellement peut-être qu'un de ses amis en panne de cadeau lui offrira le cd ou le dvd pour son anniversaire, ce qui ne se serait jamais passé sans le P2P.
C'est ça qui est bien trop difficile à comprendre pour ces antiquités du marketing que sont les Pascal Nègre et consors.
Ceci me rappelle d'ailleurs une reflexion faite il y a un moment déjà sur la première version de ce blog, bien avant que Dadvsi ne nous jette tous définitivement dans l'illégalité.
Aujourd'hui, un cran est malheureusement franchi, et il ne s'agit plus d'accès à la culture, puisque même pour la culture de merde, il faut payer. Comment découvrir des artistes qui ne sont pas diffusés à la radio ? Pour le commun des mortel (je veux dire qui ne peut pas s'acheter la presse spécialisée ou qui tout simplement s'en fout), c'est mission impossible, et restent les plans com (radio+tv) des plus gros.
Alors est-ce que le combat est perdu pour autant ?
Oui, si une alternative anonyme et invisible au P2P tel qu'on le connaît aujourd'hui n'est pas trouvée. Mais je crois pas être trop optimiste de penser qu'elle ne se fera pas attendre.

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30 mars 2006

tommytommy

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29 mars 2006

Ca va pas être possible...

Jusqu'à aujourd'hui, je lisais chronicart.com de manière assez régulière.
Mais là, je sais pas si c'est moi qui suis vieux jeu, ou je sais pas quoi, mais la surenchère de bannières de pub, franchement, je comprends pas.
Déjà une bannière, c'est moche et chiant, mais bon, on s'y fait, c'est toujours mieux qu'une pop.
Mais alors deux bannières qui bougent, et la page devient carrément illisible.
Dans le genre "tuons le contenu pour gagner 2 € de plus", je pense qu'on tient notre vainqueur, bien loin devant BIBA...
Espérons que fluctuat.net ne tombera pas dans le même travers, mais allez savoir... depuis qu'ils ont été rachetés !

[Dans notre prochain épisode, je vous parlerai des pubs qui viennent se loger directement dans les mots d'un article. Oui, oui, ça existe.]

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Rêve #7

C'était une représentation de "L'Echange", de Claudel (je sais pas quelle version).
Elle avait lieu dans une sorte d'école désaffectée et les comédiens bougeaient de salles en salles, suivis par le public.
Il y avait aussi des danseuses dans le spectacles, genre petits rats de l'opéra en tutu.
Moi, je jouais le rôle de Charlie (qui n'existe pas dans la pièce de Claudel, d'ailleurs, mais bon, c'est un rêve).
Sur le programme de salle, toute la partie consacrée à Charlie était intitulée "Charlie et ses deux vies".
Je ne me souviens pas très bien de ma prestation, seulement d'une scène où je lancais un couteau sur un ami, et ce couteau se plantait dans son abdomen. Il fallait ensuite que j'explique en anglais à un médecin que la situation était urgente, tandis que celui-ci semblait s'en foutre. Le principal problème était que je ne savais pas dire "abdomen" en anglais.
Finalement, je pense que Charlie devait se faire lyncher, ou quelque chose comme ça, parce que je me souviens être étendu par terre en me disant que "ouf, c'est fini" pendant que le public déambulait autour de mon supposé cadavre.
La pièce s'est achevée et il y a eu beaucoup d'applaudissements.
C'est là que je me suis mis à pleurer à chaudes larmes, sans trop savoir pourquoi. Peut-être la pression qui retombait d'un coup après une prestation aussi longue et éprouvante.
En partant après la représentation, j'ai croisé des spectateurs qui m'ont demandé pourquoi ma partie s'appelait "Charlie et ses deux vies". J'étais un peu déconcerté parce que cela me paraissait évident. Et j'ai alors retrouvé le metteur en scène de la pièce, mais au lieu de me féliciter, il m'a engueulé parce que j'avais zappé une bonne partie du texte, et que cela n'avait pas seulement affecté le rôle de Charlie, empêchant au public de comprendre pourquoi il avait deux vies, mais j'avais surtout oublié un passage qui introduisait une nouvelle salle où devait continuer l'action.
En gros, j'avais à moi tout seul sucré la moitié de la pièce, la rendant parfaitement incompréhensible.
Il y avait ma famille, et des amis, mais j'ai préféré partir seul, à pieds, et un peu dépité.
Je ne parvenais pas à me souvenir de ce que j'avais fait. Tous les souvenirs liés à la représentation avaient disparu.
J'ai erré dans une sorte de zone industrielle pendant un moment, avant de me rendre compte que la décision de rentrer à pieds était complètement débile car j'habitais vraiment très loin d'ici.
Néanmoins, personne ne m'en avait empêché, car à ce moment-là, je crois que personne n'avait envie de ma compagnie.
J'errais encore dans la zone industrielle quand je me suis réveillé.

[Bon, ceci est un rêve. Mais pour rassurer ceux qui se demandent et qui n'étaient pas là le 23 mars lors de la représentation que j'ai donnée à Auxerre, elle s'est très bien passée, et je n'ai rien oublié. En revanche, il n'y avait pas de petits rats de l'opéra, et je n'ai pas pleuré.]

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28 mars 2006

Puisque dans tes yeux

Café littéraire du Capricorne hier soir.
Le thème était "Voyages" et je me suis fendu d'un petit texte.
Comme d'habitude, le voici en accès libre.
Certains reconnaîtront un peu de l'esprit de "Monochrome IKB n°3", surtout dans l'idée de vivre une aventure inoubliable entre la salle à manger et la cuisine, mais avec quelques concepts nouveaux.
Ca s'appelle Puisque dans tes yeux.
Bonne lecture.

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22 mars 2006

Le garçon me jette par dessus la cohue

Ce titre, il veut dire trois choses.
Peut-être plus, mais au moins trois choses.
La première, c'est que c'est une ligne de mon texte de "Un obus dans le coeur", juste avant la catastrophe centrale de cette pièce, un autobus en flammes pendant la guerre du Liban. "Le garçon me jette par dessus la cohue : kif el yôm byod'har baad yad'har men el layl."
Comment le jour peut encore sortir de la nuit ?

La seconde, c'est un souvenir. C'était il y a presque 10 ans et on était allé au concert des Red Hot Chili Peppers à Bercy avec des amis. Dans la fosse, dans les hurlements des fans et des guitares, on gueulait comme des sauvages et on se percutait comme des tarés, contre les inconnus et contre nous-mêmes. J'ai demandé à l'un de mes amis de me faire la courte échelle pour me balancer sur la foule. J'avais vraiment envie de partir en slam, me faire porter par des centaines de mains étrangères jusqu'au cordon de sécurité.
Il s'est exécuté. J'ai mis mon pied droit dans ses mains jointes et il m'a propulsé dans les airs. Sauf qu'on avait mal évalué la distance qui nous séparait de la scène, et au lieu d'atterrir sur le public, je suis passé par dessus le cordon de sécurité et je me suis fracassé sur le sol, au pied de la scène.
Déjà, ça faisait mal, de tomber comme ça sur le béton, de si haut. Et aussi, les gars de la sécurité ont dû flipper, croire que j'étais un barjot bourré qui voulait monter sur scène, alors ils m'ont cueuilli au sol, pendant que je me tordais de douleur, et sans ménagement, ils m'ont relevé et balancé sur le côté à coups de latte.
Je me suis retrouvé en quelques secondes à l'entrée des chiottes de Bercy sans comprendre ce qui venait de se passer.
C'est ça, souvent. On veut avoir son instant de gloire, se faire porter, extatique, par les mains attentionnées d'une foule conquise. Et on se fracasse sur le béton comme une merde, et comme une merde aussi, on se retrouve à l'entrée des chiottes sans savoir ce qui a bien pu se passer.

La troisième chose, c'est la cohue de maintenant.
C'est ce qui me monte à la tête et me bouleverse autant que ça me dégoûte. Pas la cohue des manifestants, l'autre. Celle des costards-cravates dans leurs hémicycles et leurs fauteuils en cuir, et leurs rédactions, en train de se poser en moralisateurs blasés devant les mouvements de panique légitime de la rue. Toutes ces choses que je lis et que j'entends, en provenance de bouches dont pas une seconde je ne soupçonnais l'épaisseur de leur opacité.
Evidemment, il y a les Sarkozystes et autres chefs d'entreprises à la ramasse d'un monde qui finira par les bouffer, en train de rigoler devant un mouvement syndical qu'ils jugent puéril, parce que hein, le monde avance, les gars, et il faut arrêter de camper sur des positions rétrogrades ! Le droit du travail ? Les acquis sociaux ? Ah non, mais tout ça, c'est l'histoire ancienne voyons. C'est conservateur ! C'est dépassé ! Allez hop, au boulot ! Vos enfants vous remercieront.
Bon ça, admettons. On en attendait pas moins de ces petites frappes, un CAC dans l'oeil et une main sur la poche. Leurs petits-enfants à eux leur cracheront dessus, ils auront ce qu'ils ont cherché, passons...
Ce qui me déstabilise complètement, ce sont les autres, les indécis qui se demandent encore si tout ça ne serait pas une immense mascarade destinée à faire l'école buissonnière quelques temps. Parce que "il faudrait lire le texte exact pour se faire une idée quand même".
J'ai entendu ça. Je l'ai entendu pour de vrai.
C'est l'effet "Constitution Européenne" ou quoi ?
Oui, non, oui, non, allez savoir, y'a trop de pages à lire...
Alors juste pour mémoire, pas besoin de lire 300 pages. Une seule chose. Une seule. Cette idée de période d'essai de 2 ans.
Tout le reste du texte, finalement, qui s'en préoccupe ?
Juste ces 2 ans. Juste pour résumer.
Qu'est-ce que vous faisiez il y a 2 ans ?
Est-ce qu'il y a 2 ans, vous saviez exactement ce que vous alliez devenir aujourd'hui ?
Je pense à tous ces amis qui ont eu des enfants autour de moi, pendant ces 2 ans.
Qu'est-ce qui empêchera un employeur de virer une fille qui aura décidé d'avoir un enfant pendant ces 2 ans ? Donc voilà, première chose, pas d'enfants pendant 2 ans.
T'avais pas prévu ça, ma jolie ? T'as rencontré l'homme de ta vie et tu veux avoir des bébés avec lui ? Allez hop, va faire ta vie au RMI. Nous on va pas se faire chier avec ton congé maternité.
Mais pas seulement les filles, rassurez-vous...
Admettons, vous, là, vous tombez malade. Pas une grippe, attention, un truc bien grave qui vous envoie à l'hosto pour une durée indéterminée. Vous allez recevoir des fleurs, dans la chambre d'hôpital, ça c'est sûr, mais vous allez aussi recevoir votre lettre de licenciement. Bah oui... Pourquoi se priver ? On va pas se faire chier avec un souffreuteux dans l'entreprise, non mais oh ! Faut que ça tourne ici. La concurrence, tout ça, vous connaissez le topo ! Allez hop ! T'auras qu'à aller voir à l'ANPE pour faire ta formation prévue dans le cadre de la loi sur l'égalité des chances ! De ton lit d'hôpital, t'auras le temps après tout, de discuter avec ton tuteur de tes perpectives d'avenir maintenant que tu t'es fait jeter parce que t'étais malade...
Voilà. Je vais pas plus loin. Rien que ça.
Ya besoin de lire la suite du texte ?
Rien que ça, vous croyez que ça suffit pas ?
Y'a toujours des indécis ? Des qui pensent que "on peut pas trop se faire une idée, tu sais, on entend tout et son contraire, tu vois" ?
Oué, je vois. Je vois très bien même. Je vois très bien à quel point les vieilles techniques fonctionnent encore parfaitement.
Brouiller le tout avec le n'importe quoi pour qu'au final, personne ne sache plus quoi penser et se dise qu'après tout, ce sont des gamins dans les rues, et ils y connaissent quoi à la vie et au monde qui bouge, les gamins ?

C'est ce garçon que j'ai cité plus haut, son incertitude et ses doutes, son opacité et son flou. C'est lui qui m'a jeté par dessus la cohue et m'a fait écrire ça alors que jusqu'ici, je pensais qu'il n'y avait même pas besoin de discuter l'insanité évidente de ce texte de loi.

Et à ceux qui se demande ce que moi je faisais, il y a deux ans... Bah... J'imagine que j'étais en train d'écrire un texte pour arsonore. Laurent venait de terminer son morceau (ici et ici), et il m'avait juste donné le thème.
Je me souviens, c'était il y a longtemps, et ça s'appelait : "La rue ne gouverne pas".
Mais alors qui ?

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20 mars 2006

tommytommy

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19 mars 2006

L'INCERTITUDE

Pas de vidéo... Seulement une image. Inquiétante. Terrible.
Sans certitude, nous ne pouvons que supposer, et espérer...
Pour lire l'article du 19 mars 2006 rédigé par l'association "Libérez Grégoire Courtois", cliquez ci-dessous :

Que s'est-il passé depuis le 5 mars ?

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14 mars 2006

Dernière ligne droite

Ce sera bientôt la fin d'un cycle.
Moi, je fonctionne par cycles. J'ai des projets, des tas, qui avancent tous en même temps, mais quand l'un d'eux se rapproche de son terme, généralement, il devient le centre de mon attention, et tout le reste disparaît.
Aujourd'hui, et pour encore quelques jours, le centre de mon attention, c'est le texte de Wajdi Mouawad, "Un obus dans le coeur", monologue tiré de son roman "Visage retrouvé".
L'histoire de cette lecture-spectacle est assez curieuse, parce qu'elle ne part pas du tout d'un de mes désirs. Je me souviens, en juillet dernier, même si j'avais entendu parler de Wajdi Mouawad, en particulier pour son coup d'éclat lors de la cérémonie des Molière, je n'avais en tout cas jamais rien lu ni vu de lui, même pas le très tendance "Littoral".
Alors quand on m'a proposé de travailler sur ce texte et d'en faire une présentation un peu plus élaborée que nos régulières lectures sur table, j'ai accepté sans réfléchir, et alors même que je n'avais pas lu le texte (il n'est pas édité - du moins pas dans sa forme théâtrale), je me suis retrouvé avec une page dans la plaquette de saison du théâtre, et donc l'obligation de m'atteler à ce projet dont j'ignorais tout.
C'est peut-être pour cette raison qu'à aucun moment du travail, je n'ai eu le loisir de réfléchir à la pertinence de ce texte, à son intérêt théâtral, ou tout simplement à sa faisabilité. La question ne se posait pas puisque de toutes manières, la lecture-spectacle était annoncée, et son annulation, surtout sur des motifs purement subjectifs, n'était absolument pas envisageable.
Voilà comment je me suis jeté dans ce texte sans réfléchir, et que passées les barrières de l'envie, il m'a fallu rapidement trouver des idées de jeu et de mise en espace.
Le gros du travail a vraiment commencé à la fin du mois de janvier dernier, d'abord seul, ensuite assisté de Jean-Marie Perret, puis de Valérie Durin (compagnie du Matamore).
Aujourd'hui, nous entrons dans la dernière ligne droite du projet, dans la phase des fignolages, des derniers points de mise en espace à régler, et je dois avouer que je ne regrette pas du tout cette aventure. Je ressens même une certaine tristesse à me dire que dans 10 jours, tout ça sera terminé et que le travail de quelques semaines n'aura servi qu'à cette unique représentation fugitive du 23.
Voilà, c'est peut-être pour ça que j'écris ce post, pour la pub, tout simplement, pour encourager ceux qui n'ont pas leur place à venir jeudi prochain au théâtre d'Auxerre et assister à cette représentation unique. Parce que ça me tient à coeur. Parce que c'est un texte superbe. Et parce que vous n'aurez plus jamais l'occasion de voir ça...

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09 mars 2006

tommytommy

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06 mars 2006

Ils sont mignons

Grâce à l'outil de stats que j'ai installé sur cette page ainsi que sur quelques autres de mon site, je peux voir à partir de quelle requête tapée dans Google (ou un autre moteur d'ailleurs) les visiteurs finissent par débouler ici.
L'exercice des "queries" est désormais une coutûme sur les blogs. On les publie régulièrement tellement c'est marrant et surtout révélateur de deux choses :
- premièrement la naïveté (qui a dit la connerie ?) des gens qui utilisent les moteurs de recherche, posant souvent des questions complètes, comme s'ils avaient un monsieur à moustache en face d'eux,
- deuxièmement le décalage entre ce qu'on écrit tous les jours, qu'on croit pertinent, mais qui en réalité se retrouve lu par des types qui sont à la recherche d'information sur, au hasard de mes queries, des "blogs scato", "quel guitare kurt cobain avait il unplugged" ou "l'origine de diam's".

Ah oui, c'est sûr, ça fout un coup au moral de voir qu'un visiteur sur deux de ce blog vient ici parce qu'il a recherché "michel sardou" dans Google Images...
Mais vous l'aurez compris, c'est aussi une grande leçon d'humilité. Des fois qu'on s'imagine que le nombre croissant de visiteurs est dû à notre incroyable acuité à analyser ce monde en mouvement, des fois qu'on croit que notre adresse circule dans les boites aux lettres électronique accompagnée de commentaires dityrambiques, pour le coup, voilà, on revient un peu sur terre : on écrit bel et bien pour le vide, pour les robots et pour nos amis.

Bon alors même si dans cette exercice de publication des queries, je me souviens de quelques unes parfaitement indépassables (je pense au particulier au "mange ton cul" de feu le blog de la rue de Cambrai), j'ai tout de même quelques fiertés que je vous fais partager ci-dessous sour la forme d'un top 10. Nul doute que je recommencerai un de ces quatre.

Le Top 10 des queries les plus classes de Troudair Reloaded :
- braquage supermarché
- putain de pub
- ce qu'il faut pour monter un coffret electricité
- peur méthodes marketing
- mes premier jours dans une agence de pub
- surveillante de lycee mignonne
- le bruit blanc des morts
- tout plaquer ca fait chier
- étude annonces nécrologiques
- antechrist damien

[Edit du 7 mars : Oula...il suffit que je fasse un post les queries pour que dès le lendemain, j'ai une perle qui tombe. Ma query préférée qui mène sur Troudair Reloaded est donc maintenant "vivre avec un connard". A battre.]

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05 mars 2006

La douleur

Nos peurs se sont confirmées dans cette nouvelle vidéo.
Grégoire est bel et bien torturé par le MNRB.
Sa libération devient urgente, et c'est pourquoi nous appelons tous les citoyens à règler la facture des droits d'auteurs nécessaires à la large diffusion de ces vidéos.
Il en va de la vie d'un homme.
Grégoire Courtois, otage

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02 mars 2006

tommytommy

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