Troudair Revolutions

Fil d'info en continu sur les conséquences de la fin du monde qui a eu lieu le 15 décembre 1999.

01 juin 2008

Aurores de la matière morte (version longue)

Comme promis, voici la version longue de mon article "Aurores de la matière morte", écrit pour la revue Chimères.

Deux versions disponibles :

version web
version .pdf (346Ko)



Ce qui me fait très plaisir, et qui m'emplit aussi de fierté, c'est que toutes les thèses que j'avance dans cet article, écrit en janvier dernier, sont confirmées par le dernier film de Georges Romero, "Diary of the Dead", qui sortira le 25 juin prochain sur les écrans français. L'axe moral que j'ai exploité, "peut-on tuer le mort ?", et qui constitue la colonne vertébrale de cet article, est à mon sens celui utilisé par Romero dans ce cinquième volet de la saga des morts-vivants. L'image finale en particulier, que je ne dévoilerai pas pour ceux qui compte découvrir cet excellent film, pose la seule et unique question qui obsède le réalisateur depuis 1968.

Bonne lecture donc.

Note : Que ceci ne vous empêche pas d'acheter la revue, car je suis loin d'être le seul à avoir écrit et les autres articles sont particulièrement passionnants.

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6 commentaires:

À 04 juin, 2008 04:59 , Blogger saihtaM a dit...

superbement mis en web...

 
À 04 juin, 2008 09:36 , Blogger Troudair a dit...

Merci Mathias. C'était effectivement chaud à mettre en place cette mise en page...
On se voit demain alors ?

 
À 04 juin, 2008 19:04 , Blogger saihtaM a dit...

yep :)

(j'aurai une écharpe verte et des pantoufles à pois)

 
À 06 juin, 2008 14:06 , Blogger Frédéric a dit...

C'est sympa d'avoir pu en discuter en direct... Tu dois être né quelques années trop tard pour avoir connu les permiers temps de STARFIX, non? Tu aurais adoré.

fm, Mutant Anachronique-1.

 
À 06 juin, 2008 15:17 , Blogger Troudair a dit...

en effet, je n'ai connu Starfix que de nom. Petit, j'étais plutôt Mad Movies. Mais bon, tout ça, c'est la même racaille nerd, il me semble.

 
À 07 juin, 2008 14:49 , Blogger Frédéric a dit...

Oh! comme à droite, à gauche, s'envolaient, à leur passage, les prés, les bois et les campagnes! comme sous eux les ponts retentissaient! "A-t-elle peur, ma mie? La lune est claire... Hourra! LES MORTS VONT VITE..."

 

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